Les larmes d’un Violon

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Mer de soupirs, de larmes, de sanglots

Qu’un vol de papillons sans se poser traverse

Jouant sur la tristesse ou dansant sur les flots

Rêve, aime, souffre, crie, apaise, charme ou berce

Toujours tu as fais courir entre chaque douleur

L’oubli vertigineux et doux de ton caprice

Comme les papillons volent de fleur en fleur

De mon chagrin alors ma joie est la complice

L’ardeur du regret accroit la soif des pleurs

Que sont devenus tous les amis

Princes du désespoir, ou grands seigneurs trahis

J’aimerais bien le savoir

Sourire de regret, et larmes d’espoir.

 

4 réflexions sur “Les larmes d’un Violon

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