Il vient à nous

Je viens à vous du haut des cieux !

Ne craignez pas, mais en tous lieux

Prêtez l’oreille, ouvrez vos coeurs

Arrive un grand bonheur.

A Bethléem, en cette nuit

Ainsi que Dieu l’avait promis

Un enfant naît comme un Sauveur

Il est le Christ et le Seigneur

Voici comment le Fils de Dieu

Se montre à nos yeux

Tout petit nouveau-né

Dans une crèche emmailloté.

Le chœur des anges triomphants

A ce message unit ses chants

Louange et gloire dans les cieux !

Sur nous descend la paix de Dieu

Seigneur du ciel, Ô Créateur

Quittant l’éclat de ta splendeur

Tu viens, pareil au plus petit

Dans l’humble enfant de cette nuit

.Louange à Dieu qui nous fait don

De son amour, de son pardon

Par le Sauveur qui nous est né

Des temps nouveaux vont commencé.

Préparons la Fête de Noël

Heureux celui qui attend

De fêter son anniversaire

Il se réjouit des cadeaux qu’il va recevoir

Il écrit des cartes d’invitation pour rassembler

Tous ceux qu’il aime

Et partager avec un joyeux moment

Heureux ceux qui attendent la venue d’un ami

Ils se préparent et décore la maison

Ils guettent et restent éveillés

Ils ouvrent leur coeur pour l’accueillir

Ils le reçoivent et c’est la fête !

Heureux sommes-nous en ce temps de Noël

Jésus naît au milieu des hommes !

C’est Dieu lui-même qui vient : qu’elle fête!

Préparons-nous à l’accueillir ! Réjouissons-nous !

C’est Noël ! C’est le temps de la fête !

Les Souvenirs ne meurent pas

Quand un être meurt, tous ses souvenirs

Les joies, les regrets de son existence

Peuvent-ils ainsi se fondre au silence

Et ne plus jamais, jamais, revenir ?

Les Amitiés, les amours, les enfants les images vont s’évanouir

Tout sera oublié, la musique, même la danse

Qu’autrefois on pratiquait en cadence

Non ! se rappeler tout avant de mourir !

La plus humble vie épouse une histoire

Un songe enfoui dans chaque mémoire

Et qui s’en ira par le flot des jours.

Et tous ces bonheurs, la flamme Eternelle

Les conservera comme un grand Amour

Dans le creuset chaud des âmes nouvelles…

A toi mon amie

Tu as su me tendre la main

A cet instant où je n’allais pas bien

De nos rires, de nos confessions

Est née de l’affection

De notre tristesse, de notre complicité

Est née notre amitié

Mais il ne faut pas que cela reste

Un simple mot de six lettres

Si un jour tu es en détresse

N’hésite pas à me lancer un SOS

Même si je ne trouve pas les mots

Ceux qui rendent le monde plus beau

Même si je suis maladroit

Tu pourras toujours compter sur moi.

Ne laisse pas la maladie

Prendre le pas sur ta vie

Si aujourd’hui tes larmes sont salées

Demain elles te paraîtront sucrées

Dans une folle farandolle

Tous tes amis réunis

Fêteront ainsi ta nouvelle vie.

Mon amie tu m’as secouru

Alors que je me croyais perdu

Mon amie tu m’as aidé

Et ça je ne l’oublierais jamais

Aussi loin que tu sois

Je veillerai toujours sur toi.

La Femme, La Maman

S’il arrivait un jour, en quelque lieu sur terre

Qu’une entre vous vraiment comprît sa tâche austère

Si, dans le sentier rude avançant lentement

Cette âme s’arrêtait à quelque dévouement

Si c’était la Bonté sous les cieux descendue

Vers tous les malheureux la main toujours tendue

.Si l’époux, si l’enfant à ce coeur ont puisé

Si l’espoir de plusieurs sur Elle est déposé

Jeunes Femmes, enviez-la, Tandis que dans la foule

Votre vie inutile en vains plaisirs s’écoule

Et que votre coeur flotte au hasard entraîné

Elle a sa foi, son but et son labeur donné

Qu’elle souffre ou combatte, c’est Elle

Que l’homme à son secours incessamment appelle

Sa joie, et son appui, son trésor sous les cieux

Qu’il pressentait de l’âme et qu’il cherchait des yeux

La colombe, qu’un vent du ciel ramène

Vers cette arche en danger de la famille humaine.

Enviez-la, des saintes hauteurs en ce morne séjour

Pour branche d’olivier qu’a rapporter l’Amour.

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