Mains de trêve, mains de l’oubli
Voilà que se prennent les mains
De ceux qui sont amis.
Voici que se prennent les yeux
Les yeux de ciel les yeux de feu
De ceux qui ne sont pas heureux.
Voilà que se touchent les fronts
Fronts du regret fronts de l’orage
Voilà que se touchent les fronts
De ceux qui n’ont plus le courage.
Voici que s’unissent les noms
Noms enlacés ô tendres noms
Voici que s’unissent les noms
De ceux qui n’ont plus de maison.
Voilà que se mêlent les rêves
Rêves de joie ô fleuves d’or
Voilà que se mêlent les rêves
De ceux qui espèrent encore.
Voici que se heurtent les mots
Mots insensés ô tristes mots
Voici que se heurtent les mots
De ceux qui s’oublieront bientôt
Amitiés et bises, chère Jeanne Glaude 🙂
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Qu’ils sont beaux tes mots ! Bravo.
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