Paraît que pour être au plus haut
Faut se sentir bien dans sa peau
Si donc nous nous y sentons mal
ça peut nous bouffer le moral
Et c’est porte ouverte au dégâts…
Aussi soyons de notre temps
Car qui voudrait tels embarras ?
Se guérir en nous soignant.
Paraît que pour s’épanouir
Avant tout se définir
S’adore-t-on ? Quand ? Et Comment?
Se déteste-t-on ? mêmement ?
Si c’était les deux à la fois ?
Car connait-on ce qu’on engrange ?
Faut en situer les pourquoi
Et clarifier un tel mélange.
Paraît que pour être serein
Faut pas jouer au petit malin
N’hésitons pas à exposer
Ce qui en nous fut enterré
Dans les entrailles du non-dit
Depuis peu , ou des décennies
Et qui pourtant respire encore
Causant en nous le plus grand tort.
Paraît que pour tourner le dos
Aux dépressions et autres maux
Faut réparer là où ça craque
Si vous pensez « j’en ai ma claque
Je me croyais hier un génie
et moins qu’une merde aujourd’hui »
Pour vous sortir de ce micmac
Au plus tôt videz votre sac.
Paraît que pour s’équilibrer
En soi, autant qu’en société
Les procédés courent les rues
Y’a qu’à mettre son âme à nu
Et décortiquer sa substance
L’implication de mille traits
S’entremêlant en permanence
Ne devrait pas vous affoler….
Sais pas si j’ai bien expliqué
Peut être qu’un ajout ….. ?