Il le faut, un petit peu s’aimer soi-même, 

Assez pour se respecter

Assez pour s’accepter

Il le faut, un petit peu, apprendre à s’aimer soi-même

Pour à son tour aimer

Pour à son tour donner

Il le faut, un petit peu s’aimer soi-même,

Afin de ne pas blesser

Afin de ne pas  en chagriner.

Il le faut, un petit peu apprendre à s’aimer soi-même

Dans cet amour, s’abriter

De ses racines, se relever

Il le faut, un petit peu, s’aimer soi-même

S’estimer et s’en habiller

Se mouvoir avec dignité

Il le faut, un petit peu, apprendre à s’aimer soi-même

Education inachevée

Celle qui ne l’a enseignée

Il le faut, un petit peu, s’aimer soi-même

Contours clairement tracés

De cette âme,  toujours respecter.

 

 

 

 

Du Courage, il en faut pour se faire face

De regarder son âme dans cette glace

Au travers de ses fissures et blessures

De ses brisures et de toutes ses ratures

 

Il faut trouver le courage de se faire face

Tous les jours œuvrer, demeurer coriace,

Chercher un moyen de relever le regard

Se lever et avancer, sans rester hagard

 

Il faut avoir le courage de se faire face

Malgré ses échecs, et ses disgrâces,

Essayer d’oblitérer son abjecte lâcheté,

Agir, réagir et ne jamais tomber

 

Il en faut du courage de se faire face

De se pardonner ses mauvaises passes

Ses fautes monumentales et ses erreurs

Avec bienveillance, patience et sans peur

 

Le courage est une bataille quotidienne

Il n’est jamais acquis, et ainsi se construit

En nous modelant; à chaque jour sa peine

A chaque détour, le coeur se révèle et éblouit.

 

 

 

 

 

Et si je  faisais un petit retour en Thaïlande, histoire de revoir ces photos si bien conservées en un album dans mon ordinateur et aussi sur disque externe . A ne pas perdre ! Revoir ces photos m’aideront à égayer ma  journée…Il pleut, le ciel est tout gris.

Je pense que la Thaïlande est le plus beau pays que j’ai visité. J’en ai pris plein la vue en admirant les Temples de Bangkok. Le pays du Sourire, vous entraine dans une aventure, à la rencontre d’un peuple accueillant et d’une culture millénaire absolument passionnante où se mêlent mythologie bouddhiste, architecture, artisanat.

Ce voyage est resté gravé dans ma mémoire.

 Voyage effectué en 2012

Un Temple bouddhiste

Où on peut admirer les différentes attitudes de Bouddha

 

Encore un autre Temple que j’ai beaucoup aimé

L’architecture fait penser à un ouvrage de dentelle

Le matin , à l’aurore les Moines vont à la ville pour recueillir les offrandes, et ensuite donnent la bénédiction aux offrands

Surtout ne pas rater  le village des singes et surtout se méfier d’eux car ils vous subtilisent les bijoux et lunettes

 

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Dans un Parc à LAMPANG vestiges datant du XIIIème  siècle

Visite d’un village d’agriculteurs. Tribu KAREN  Ils sont originaires du Myanmar, très catholiques

Le Triangle d’or aux confins du Mékong

Temple qui abrite le Bouddha en Or massif de 55 tonnes à Bangkok

Ce Fameux Bouddha en Or massif

Visite du Palais Royal à Bangkok

Le marché aux fleurs à Bangkok

Le Marché flottant

Artisanat local à Sankhamphaeng

Marché aux épices

J’aimerai bien refaire une balade à dos d’éléphant

 

La vieillesse n’est pas une maladie

C’est la Maladie qui envahit la  Vieillesse.

Nous avons encore besoin  de caresse, des doigts qui lissent nos cheveux gris

Une main qui se pose avec délicatesse sur nos vieilles mains engourdis

Ce que l’on veut encore entendre, ce sont les paroles douces et tendres

Le temps des cris est terminé, c’est trop fatigant pour les ainés

On apprécie les visites imprévues, trop courtes chaque fois

Nous retrouvons nos forces pour en profiter comme autrefois

On a un bagage de connaissances qui s’acquiert qu’avec le temps

On a fait chacun nos expériences et on apprécie le moment présent

On est plus sensible en vieillissant, un rien nous touche évidemment

Un sourire, une fleur, une caresse.

 

 

 

 

 

Je ne te supporte plus

Tu m’emprisonne et tu me tue

De l’intérieur, tu me consume

Et à chaque fois, j’en paire mes plumes

Tu es sournoise

Tu t’empare de mon coeur

Tu fais  souffrir mon âme

Quand tu es là, je broie du noir

De ton talent

Tu fais couler mes larmes

Ah mes larmes ! entre vous deux c’est une grande histoire

Vous êtes lier pour me faire mal

Vous vous emparez de moi avec joie

Pour vous faire partir, c’est dur et long combat

Que je perds à chaque fois

Quand çà commence à couler, rien n’y personne ne peut vous arrêtez

Tel un robinet cassé çà rempli mes yeux, et ça se déverse sur mes joues

Tristesse

Je ne te veux plus

Car en moi tu me tue

Tu empêches mon coeur de vibrer

Tu fais un nœud avec mon estomac

Mais TOI tu jubile

Tu t’amuse à me faire souffrir

Mais un jour, je trouverai un moyen

Une parade pour empêcher mes larmes de couler

Un jour je gagnerai

Enfin j’ose espérer

 

 

La Douceur, c’est l’ivresse des mots…. Pour les personnes tendres, c’est le cadeau….

C’est s’endimancher de belles phrases, Pour apporter un bien-être de classe….

C’est réussir sans avoir à supplier…. Par un geste de bonté et d’amabilité

Pour tous les êtres sensibles, c’est la qualité la plus éligible….

L’âme émotive réclame de belles paroles,

Une façon d’agir qui console

C’est le signe très précieux de grande valeur

C’est de rassurer avec une preuve de grandeur

Les termes doux plaisent comme une sérénade

Apprivoisent finement comme tout bon camarade

La douceur réussit à contrer la violence

C’est un témoignage de bienveillance

Un état d’âme qui cajole comme une rêverie

Elle incite sans aigreur à la galanterie

C’est une approche pour apaiser la colère

Et rend serein malgré le caractère

C’est savoir s’exprimer sans jamais blesser

Le coeur fragile est accueilli sans brutalité

C’est une habilité raffinée, pour charmer la sensibilité

La douceur séduit au lieu de confronter, tout sentiment de dureté

C’est le remède idéal pour l’émotivité, ce moteur traduit votre tendresse

Le coeur sera étonné par ce plaisir éprouvé

La douceur c’est traiter avec gentillesse

C’est même respecter avec délicatesse

Elle rapproche les êtres avec candeur,  cette option joue en votre faveur

Elle charmera sans effort, c’est de partager le réconfort

La douceur est le langage des coeurs émotifs, qui apporte une fraicheur romantique

Personne ne refusera cette attitude de bonheur

 

 

 

 

 

 

Au pas, l’enfant est en éveil

Il examine et il écoute

Or, au Trot ce n’est plus pareil

Il ne regarde que la route

 

Au Galop, le jeune exalté

A l’impression d’avoir des ailes

Occultant les difficultés,

Il fonce animé d’un grand zèle

 

Lui apparaît  longue sa vie

Les embûches n’y sont pas rares.

Il les prévoit, ou les défie

Rassurants se dressent des phares

 

La jeunesse peut galoper,

N’est plus prise dans l’ignorance

Elle se sent bien équipée

Pour vivre une belle expérience

 

Les Vieux, trottinant, dépassés

Réalisent leur impuissance

De tous les adages entassés

Ils gardent douce souvenance.

 

 

 

Quand de bon gré, j’ai pris le chemin des aïeux

Faisant fi des moqueurs le disant rocailleux,

Jonché de buissons noirs,

Un Sage aux mots soyeux

M’avait dit :  » Sois sereine ! Rude et longue est ta voix « 

 

 

 

 

 

Je fis mes premiers pas, armé de son conseil

Sur un sentier désert plongé dans un sommeil

de mort

Je cheminais seule, vers un lieu vermeil

Vas-y, me disait le coeur, tu trouveras plein de joie

Plus  j’avançais, plus je voulais marcher, courir

Voler, chercher sans fin cette île à conquérir

Qui me hantait l’esprit adorant se nourrir

D’air pur et de clarté dans un pré qui verdoie.

 

 

De Diserts  compagnons  me furent, offert par le ciel

En m’abreuvant à leur ruche au bon miel

Sont arrivés les peines!  et les rivières de fiel !

Maintenant : miel, peine et fiel ont tari

Va-t’en Spleen ! Je ne suis plus ta proie !

 

 

Parcourir le chemin sombre

Pour y trouver des traces du bonheur

Balayer le fond de son coeur

Pour y chasser les ombres

 

Retourner la terre

Pour voir si le soleil s’y cache

Ne pas abandonner sa marche

Pour trouver un ciel clair

 

Regarder poindre  l’aurore

Pour voir venir le jour

Avoir foi en l’amour

Crier à l’amour, encore et encore

 

La vie est si courte et si pleine de tristesse

Qu’il faut attraper au vol le moindre geste

Ne jamais refuser un peu de tendresse

Et accepter à bras ouverts la moindre gentillesse

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le vol tremblant de l’heure

Que nul ne peut retenir

Passe lentement et pleure

La chanson du souvenir

De Johnny Halliday :  

 »  Souvenirs, souvenirs

Je vous retrouve dans mon coeur

Et vous faites refleurir

Tous mes rêves de bonheur « 

Et quand sa course l’emporte

Plus loin  que ne vont nos yeux

Plus d’une voix longtemps morte

Murmure encor des adieux

 

Ainsi chaque heure envolée

Du nid fragile des jours

Nous fait plus inconsolée

La perte de nos amours !