Parfois , j’ai peur de toi
De tes non sens
De mon coeur qui se fracasse à chaque fois
Et de mon amitié évident et pourtant…
Je sauve ce qui reste de moi mais, je souffre quand même
Je t’en veux mais, ça ne change rien au problème
Il y a un million de choses que je voudrai te dire
Qu’avant en toute confiance je pouvais t’écrire.
Oui, oui ma plume aussi te craint
Puisque mon coeur en est l’écrin
Et que mon âme s’y reflète
De mes ombres et lumières elle s’apprête.
Mais, toi, tous cela tu le sais déja
Alors, oui, je ne comprends plus tes pas.
Ta créativité est ton essence
Même si tu ne le sais pas.
Pour ce que tu fais, tes proches te flattent
Des fois ils te rabaissent, des fois c’est l’indifférence
Tu comprends, mais tu ne les comprends pas
Leur objectivité est-elle ternie par la jalousie ?
Tu te dis que ce n’est pas de leur faute
Tu as surement raison
Mais toi, tu cherches la vérité
La vérité ne vient pas de toi tout seul.
Des sages autour de toi t’aident parfois
Pourtant tu as de la chance
Des autres te regardent aussi
Et ceux-là tu ne les connais pas.
Tes volontés à détruire ma foi
Tes lumières quand la bonne partie de toi
Tente de percées parfois.
Je n’oublie pas ta part de lumière
C’est juste qu’aujourd’hui je doute de ta volonté
A lutter pour être meilleur que hier.
J’ai tout simplement le coeur brisé
Bien plus que tu ne le comprends
Et pas même mes silences tu n’entends
Alors j’essaye de faire preuve d’humilité
En acceptant que d’amitié tu ne m’es plus lié.