Comme un bisou boomerang qui tangue dans ma tête et dans mon coeur.
Comme un tambour qui sonne creux et vibre fort.
Comme une forteresse qui se dresse, comme un affront maladroit.
Comme une larme qui crame sans couler, sans couleurs et qui meurt
Comme le vent qui sonne et m’arrache
Comme l’oiseau qui s’écrase avant de toucher le sol
Comme toi qui crois encore en un possible
Comme moi qui n’y crois plus
Comme des couleurs jetées, des sentiments avoués,
Comme le verre qui déborde de mon humeur passagère.
Comme ceci,
Comme cela,
Comme si tout allait bien,
Comme les faux semblants,
Comme les pourquoi du comment,
Comme des toujours à jamais,
Comme rien et c’est tout.
Un texte qui fait place au spleen de la vie avec ses douleurs, ses incompréhensions, ses attaques sournoises, ses vides et ses peurs. L’auteur H. Neuwen réfléchissant sur la mort disait: Je la voyais avec les yeux de l’homme blessé que j’étais mais grâce à Dieu j’ai fait l’expérience que je devais la laisser venir avec les yeux de l’amour et maintenant tout est changé pour moi. Je vous souhaite ces yeux de lumière et de paix . Bonne journée
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