Mes pleurs sont à moi, nul au monde
Ne les a comptés ni reçus
Pas un œil étranger qui sonde
Les désespoirs que j’ai conçus.
L’être qui souffre est un mystère
Parmi ses frères ici-bas
Il faut qu’il aille solitaire
S’asseoir aux portes du trépas.
J’rai seule et brisant ma lyre
Souffrant mes maux sans les chanter
Car je sentirais à les dire
Plus de douleur qu’à les porter.
De coeur avec toi -amitiés 🙂
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Merci France. bises
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