Nous savons tous que nous allons mourir un jour, mais souvent nous préférons écarter cette évidence.
Car il n’est pas facile de se confronter à la mort et au fait de mourir

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Des peurs surgissent en nous : peur de l’inconnu, de la douleur ou de pertes qui peuvent survenir. Des questions se posent auxquelles nous n’avons souvent pas de réponses : Y a-t-il une vie après la mort ? Y a-t-il un au au-delà? Y a-t-il une autre naissance ? comme les religions le décrivent ? Ou avec la mort, est-ce que tout est fini ?
Le fait de mourir fait partie des plus grands mystères et des plus grands enjeux de notre vie. Chacun de nous, tôt ou tard, sera confronté à la mort et doit trouver la façon dont il y fera face. Pour s’orienter sur ce chemin, il y a des balises : nos propres expériences, le dialogue avec d’autres humains, les messages de la foi ou de la connaissance que nous transmettent les philosophes, les mystiques, les chercheurs et les fondateurs des religions de tous les temps. Mais personne ne peut se soustraire à faire lui-même les premiers pas sur ce chemin, soit de regarder sa propre vie et de prendre conscience qu’elle aura une fin.
J’aimerai encourager chacun et chacune à se confronter avec la mort, la sienne propre, tout comme celle de nos proches.
J’aimerai vous inviter à ne pas rejeter la mort, mais à l’appréhender comme une part importante de la vie, qui peut se concevoir activement et se préparer avec soin..
La vie humaine ne se termine pas avec la mort, mais se poursuit sous une autre forme.
Avoir la foi, croire en Dieu notre créateur a une grande influence sur l’être en fin de vie.

Vu de cette façon, cela empêche une attitude critique et nous éloigne du suicide.
Cette vision peut contribuer à la compréhension, et de par ce biais au soulagement de la douleur et des angoisses.
Elle offre une base pour rencontrer la mort avec de nouvelles connaissances et énergies.
