Quand on approche de la fin, on se dépouille de tout ce qui n’est pas vrai on est alors plus authentique que jamais, et comme on ne l’a jamais été auparavant.
Bien sûr, on a besoin de soins appropriés visant la gestion de toutes sortes de douleurs. Mais on éprouve également ce que je pourrai appeler des besoins de l’âme : se sentir entendue, appuyée, entourée et en sécurité.
La personne veut être comprise et acceptée comme tout le monde.
Certaines personnes ont la chance ( y compris Moi ) de pouvoir amorcer leur processus de fin de vie, dans un état de paix avec elles-mêmes, entourées de ceux qu’elles aiment. Mais ce n’est pas toujours le cas !
En ce moment je vis une expérience : J’ai l’impression d’être un fardeau pour mes proches ou la société. Je me sens perdue et seule !
Le cafard de la solitude ? Et pour surmonter ce cafard il faut du courage , pour ne pas pleurer , et blasphémer.
Ecrire soulage et libère l’esprit, permet aussi de retrouver confiance et redevenir sereine.
Bon Dimanche à tous