Au pas, l’enfant est en éveil
Il examine et il écoute
Or, au Trot ce n’est plus pareil
Il ne regarde que la route
Au Galop, le jeune exalté
A l’impression d’avoir des ailes
Occultant les difficultés,
Il fonce animé d’un grand zèle
Lui apparaît longue sa vie
Les embûches n’y sont pas rares.
Il les prévoit, ou les défie
Rassurants se dressent des phares
La jeunesse peut galoper,
N’est plus prise dans l’ignorance
Elle se sent bien équipée
Pour vivre une belle expérience
Les Vieux, trottinant, dépassés
Réalisent leur impuissance
De tous les adages entassés
Ils gardent douce souvenance.
Jeanne c’est très bien ce que tu as écrit bravo.
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Mais oui Chère Mado , si je pouvais courir comme au temps de ma jeunesse, cela me fait rire, je ne peux que trottiner actuellement ! Ah vieillesse tu es cruelle
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Mais chaque âge a ses possibilités et ses plaisirs 🙂
Bises et amitiés – bonne fin de semaine, et merci pour ton beau texte partagé 🙂
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Bon samedi et bon dimanche France, chez moi il pleut le soleil est capricieux Bisous
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