Le Téléphone a sonné
Et l’on m’a dit
Elle est partie
Puis, j’ai réagi
Mes larmes ont coulées
Puis se sont taries
Elle n’est plus là
C’est comme ça
Pourtant je la vois
Sourire aux lèvres
Les yeux narquois
Les souvenirs oubliés
Se déchainent
A Paris, nos visites, les musées, les ballades
De ce départ que reste-t-il ?
Le désarroi, l’impuissance
Seront mes compagnons dorénavant.
Tu vas sacrement me manquer
Repose en Paix Ma chère Sylviane