
Vu qu’en chacun sommeille un snob
Toujours prompt à se réveiller
Et qui jamais ne se dérobe
Quand il s’agit de s’afficher.

Et vu qu’alors il se dépense
A s’enrober de suffisance
Pour admirer ou dénigrer
Selon la mode et ses décrets.

Et vu qu’ainsi le monde est fait
Et qu’à chacun son pas de danse
Rions plutôt que d’en pleurer
Car qui ne se sent concerné ?


